La Marie-Caroline était un brigantin racé comme un cheval de course. Ses lignes fines et ses mats effilés lui permettaient d’assurer sans effort — malgré ses deux cents tonneaux de jauge — l’allure qu’exigeait une navigation où les passagers seraient en surnombre et les vivres resserrés à l’étroit. Le charpentier et son…
ContinuerAjouté par José Le Moigne le 30 décembre 2011 à 18:30 — Pas de commentaire
Ajouté par José Le Moigne le 27 décembre 2011 à 15:40 — Pas de commentaire
Ajouté par José Le Moigne le 21 décembre 2011 à 17:30 — Pas de commentaire
Ajouté par José Le Moigne le 21 décembre 2011 à 17:27 — Pas de commentaire
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Ajouté par José Le Moigne le 20 décembre 2011 à 17:19 — Pas de commentaire
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