Conférence sur le financement des startups par Olivier Ezratty, à Rennes

Olivier intervient comme mentor et conférencier au Startup Weekend Bretagne #2


 

Prise de notes durant la conférence 

Pour financer son entreprise :

 

Le financement non-dilutif , ne réduit pas la part de capital des fondateurs

ASSEDIC : 70 % du salaire.

Prêt d'honneur (aux fondateurs prêt entre 15 et 20 k aux fondateurs).

Le réseau entreprendre

France Initiative

Oseo : 2 000 à 3 000 personnes qui prêtent des sous et propose des aides.

Projet européens et collaboratifs basés sur partenariats :

Mise en garde d'Olivier sur ces modes de travail. 

Attention aux partenaires trop gros qui peuvent vous ralentir.

Attention au trop gros clients qui vont vous transformer en SSII.

Le dilutif, on vend des parts de l'entreprise à des investisseurs privés.


Les business angels : ils sont 5 000.

Apportent en 50 et 300k.

Une règle trouver des gens qui vont vous aider, pas pas vous embêter.

Investisseurs / anciens entrepreneurs : 

Par ordre de taille de ticket : Kima, ISAI, Jaina

Family Office : Exemple, la fondation de Liliane Bettencourt

600 investissements de capital risque par an.

400 projets dans le capital risque.

Etre financé, c'est une valeur relative.

C'est être meilleur ou moins mauvais que les autres sur le parcours.

Séduire les investisseurs

Equipe (complémentarité, "foi", capacité à éxécuter)

Valeur monétaire pour le B to B, volume du problème

Valeur émotionnelle dans le grand public, volume du problème

Parfois l'orginalité, ce n'est pas d'être le premier, c'est d'être le premier à bien éxécuter les choses.

L'ambition et la scalability vont aussi convaincre les investisseurs.

JEI et crédit impôt recherche :

Le statut de JEI sponsorise le statut de projet de recherche... Beaucoup de consultants tournent autour de cette obtention de statut, "tout le monde truande".

Le système est sans doute faussé par un réalité entrepreneuriale. Le plus dur : ce nest pas l'expérimentation technologique, c'est l'expérimentation et la réussite sur le marché.

Question : Le risque de piquage d'idée ?

Il ne faut pas avoir peur.

En général, les investisseurs ne piquent pas vraiement les idées mais peuvent nuire si ils ont en portefeuille un concurrent de votre boîte. 

Les grands groupes piquent plus les idées que les investisseurs.

Les investisseurs connaissent parfois mieux les acteurs du secteur que l'entrepreneur.

Le dépôt de brevet est parfois aidé par la région.

- -

Pacte d'actionnaire : il y a une 20 aine de clauses où on peut se faire avoir. Il faut se faire accompagner.

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Pour en savoir plus, Interview de Olivier ici :

 

 

 
Olivier Ezratty, Auteur du "Guide des Startups... par frenchweb


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