Le mieux est souvent l'ennemi du bien, dit-on, mais comment un bien peut-il être un mal ?

D'un malade dont on dit qu'il est bien mal, c'est sérieux! Mais pour un marchand de biens,car ça existe,les biens sont meubles ou immeubles, mais pas immobiles, car ils circulent et s'échangent.

Un bien mal acquis, ce peut être un bien mal acquis de façon par exemple frauduleuse  ou un bien,  mal acquis procuré de façon tordue.Car ce n'est pas bien; eh bien celui qui acquiert de façon malhonnête, c'est bien mal, et bien fait pour lui. Pourtant ne dit-on pas  qu'un bienfait n'est jamais perdu ?du moins pour les bienveillants qui veuillent bien souhaiter la bienvenue.

Le Livre de la Sagesse dit " Bienheureux celui qui ne met pas sa fierté dans ses biens,c'est un homme de bien".

La bienséance, qui n'a rien à voir avec la position assise, dirait Pierre Dac,  m'oblige à vouloir bien à défaut de bien vouloir terminer bientôt et même bien tôt ce verbiage.

Petit mot bien utile, "puisque vous le valez bien".