C'était hier premier juillet deux-mille dix-sept, un samedi comme d'autres. Sauf que d'aucuns, politisés, ont envahi ce 1er juillet pour fixer la date de lancement d'un mouvement, éponyme donc.

Or, j'ai exprimé (avec dossiers de proposition remis aux plus hautes instances de direction du pays et publication dans la presse) et je soutiens depuis des lustres la proposition que cette date du 1er juillet devienne une date transnationale à l'intention des 28 pays composant l'Europe.

Et ce afin d'en faire une date à la fois commémorative (l'alternance tous les six mois de la direction du Parlement européen) et intemporelle.

Elle s'avère de plus disponible (malgré ce mouvement lancé par Benoit Hamon et affiliés), et, surtout, sans affecter de localisation particulière et appropriation par tel ou tel membre de l'union européenne.

Dont acte, revendiquant le choix de cette date (sans contrepèterie) pour fournir, aux Européens ce qui leur manque cruellement : une date partagée, commune, le même jour, au milieu de l'année en un évident symbole d'équilibre, celui-là même qui fait avancer l'Europe.

Les points d'analyse de la proposition couvrent le volet historique, sociologique, l'étude des phénomènes d'adhésion à l'Europe, autant que l'étude politique d'impact à court, moyen et long terme d'un projet visant à renouer le lien distendu entre Européens.

Un thankgiving créé de toute pièce, un prétexte à manifestations de toute sorte et un symbole commun, une facette partagée, positive et neutre dont a besoin tout participant à un groupe pour trouver un terrain d'entente.

Ariel Piou, avec Aosten pour la fonction artiste (Cf le site www.aosten.bzh)

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