Aujourd’hui je me suis questionnée sur les traces que nous laissions sans cesse sur l’océan du Web. Notre navigation, vague après vague, laisse des marques de nos passages. Comme dans « L’écume des jours » mais sans y percevoir encore les marécages… (B.Vian, 1947)
Tout est pisté, à nos dépens, sans même que nous en ayons conscience et nous sommes, comme le voilier qui par vent faible,…