SIEUR BERNARD GAVAUD
MAIRIE DE SAINT SENOUX 35580


COPIE/ Sous -Préfecture- Redon 35600
COPIE/Travaux maritimes et fluviaux 35
COPIE/ Ouest-France RENNES 35



Le 29 décembre 2013





Monsieur le Maire, Bonjour !


Je vais tout d’abord vous offrir mes bons vœux, pour l’année « 2014 », une excellente santé pour votre retraite bien méritée, que vous aurez le plaisir de prendre à la fin de votre mandat. Cependant, je suis excédé, nous sommes excédés (nous ), citoyens, contribuables, payeurs. Le coin de la charrière à la Molière est un coin plaisant, jusque dans les bas de Saint - Malo de Phily, la mare aux Mortiers, où il y a eu de grands frais, de même que les travaux gigantesques effectués cette année (2013), j’ai entendu des chiffres que je n’ose prononcer, car je n’ai pas de source officielle. Les différentes associations qui peuplent les vallons avec succès, tant mieux ! Viennent sur le chemin de halage satisfaire leurs besoins de dépense d’énergie, tout est bien signalé, sauf ! Les sorties de propriété, pas de ralentissement, le citoyen riverain se doit d’être prudent ( ce qui est normal), lorsqu’il sort de chez -lui, s’il ne tient à se faire traiter de tous le noms d’oiseaux, qui ne survivent dans cet endroit, que, s’ils sont au calme. C’est réel, l’endroit est solitaire et sauvage, si, ce n’était que quelques véhicules, même des autobus et motocyclettes et quelques pêcheurs obstruant la voie, sans ce soucier des articles de la loi. C’est d’ailleurs à des vitesses que je (nous) qualifierais (ions), d’excessives, que toutes ces « personnes » en goguette où au travail, me (nous) donne l’impression de courir après un record, pourquoi pas une médaille ? Ils y mettent tant de cœur.
A l’instant nous sommes inondés, il aurait été judicieux de nous installer une petite passerelle pour passer le fossé gorgé d’eaux courantes. C’est la saison où la terre et la nature se laissent aller à mille fantaisies. Je sais ! Que vous savez, que vous avez connaissance de tout cela. Moi je sais ! Que je ne saurai jamais ( Jean Moncorgé).
Je ne voudrais pas vous fatiguer et prendre de votre temps par un écrit trop long et rébarbatif, connaissant votre grand dévouement pour la commune de « Saint-Senoux ».
Veuillez agréer Monsieur le Maire « Bernard Gavot », l’expression de mes (nos) sentiments les meilleurs à votre égard..

PIERRE FILATRE LA CHARRIERE 35580 SAINT SENOUX




En date du 2 octobre 2013
La loi est claire : les véhicules motorisés n'ont rien à faire sur les chemins de halage. Dans les faits, pourtant, cela existe. Pour mieux appréhender le phénomène, et essayer de concilier les usages, le conseil général va mener une étude.

La problématique n'est pas nouvelle. Des véhicules motorisés ont pris l'habitude de circuler le long du canal sur le chemin de halage. En première ligne, les pêcheurs qui souhaitent s'approcher au plus près de leur poste de pêche, avec tout leur barda dans le coffre. Mais, ils ne sont pas les seuls. Faute de desserte par les routes départementales, certains riverains du canal n'ont apparemment pas d'autre choix que de longer le canal pour rallier leur domicile dans les maisons éclusières.

Une interdiction non sanctionnée

Problème : l'article 62 du code du domaine public fluvial, datant de 1932, stipule l'interdiction de circuler sur les digues et chemins de halage des canaux pour tous les véhicules à moteur. Seuls sont dispensés de cette interdiction, pour les besoins de leur service, les agents du syndicat gestionnaire ou encore ceux de la force publique. En théorie, il n'y a donc aucune tolérance. Mais dans les faits, les procès verbaux, qui devraient être dressés par les services de l'Etat, sont inexistants. « En clair, il s'agit d'une interdiction non sanctionnée », explique Christophe Hériaud, le directeur du Smatah, le syndicat gestionnaire du canal qui, de son côté, n'a aucun pouvoir de police en la matière. Cette situation n'est pas sans poser quelques questions. Que se passerait-il si un au

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Commentaire de Filatre le 6 janvier 2014 à 15:57

Autant que je m'aime ! Car la plus part des badauds, c'est courage ! fuyons...

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